Voyages

Longue marche.Traverser l'Anatolie
de Bernard Ollivier

Bernard Ollivier aura cheminé, la retraite venue, d'un bout à l'autre de l'Asie, d'Istanbul à Xi'an, en longeant l'ancienne route de la Soie. Quatre années passées les chaussures aux pieds, essentiellement à la belle saison, afin de pouvoir franchir les hauts cols d'Anatolie et du Partir impraticables en hiver. Quatre années racontées au fil des jours dans un récit qui n'est en rien l'évocation d'un exploit mais bien le partage d'une aventure humaine rare, par un voyageur émerveillé allant de rencontre en rencontre et qui constate que son projet lui est aussi mystérieux que le monde.

 

Longue marche.Vers Samarcande
de Bernard Ollivier

Des dernières passes du Kurdistan au terrible désert de Karakoram impossible à traverser l'été, de Tabriz, I\icbapour ou Téhéran. Bernard 0llivier poursuit sa route. A dos de chameau d'abord., puis devenu chameau lui-même pour transporter l'indispensable provision d'eau, il continue, sans cesse émerveillé, sa marche vers Samarcande et ses coupoles d'or...

 

Longue marche.Le vent des steppes
de Bernard Ollivier

Des neiges du Pamir aux ruelles de Hashgar, seule métropole d'Asie centrale à vivre encore à l'heure des Mille et Une Nuits, des interminables déserts du Taklamakan et de Gobi à la Chine des Hans, Bernard Ollivier continue de marcher sur la route de la soie. Il en arrive, chemin faisant, après être passé sur les traces des anciens fidèles à l'enseignement du Bouddha, à regretter la générosité de l'Islam si familier au voyageur. S'il tire quelques conclusions personnelles et peine à retrouver les repères d'un monde soi-disant moderne, c'est toujours sur le ton pudique et réservé qui donne à son récit l'écho de l'universel...

 

 

 

 

Le bonheur au bout du guidon
de Christophe COUSIN

Alors qu'il est responsable d'une start-up, Christophe Cousin fait un jour le choix de la réalisation de soi et part, seul, pour une aventure de 30000 km à vélo, 27 pays traversés, et 833 jours autour de la Terre. Avec la naïveté de celui qui ne sait pas où il va, mais qui sait ce qu'il cherche, il va se perdre dans les souks d'Ispahan, sur les sentiers du Cambodge, mais aussi se retrouver prisonnier en Syrie, ou subir l'isolement extrême dans la Cordilière des Andes... Un voyage fort et émouvant qui nous emmène à la rencontre du bonheur, des autres et de nous-mêmes

 

Aventurier des glaces
de Nicolas DUBREUIL

Passant plus de huit mois par an près des pôles (notamment au Groenland), l'explorateur Nicolas Dubreuil sillonne en kayak, à ski, en traîneau et à pied les régions de l'Arctique et de l'Antarctique. En partageant la vie et l'intimité des peuples de l'Arctique, il témoigne de l'évolution de leur vie quotidienne et de ses bouleversements. C'est en 1987, à dix-huit ans, qu'il découvre son goût pour l'aventure, remontant seul pendant un mois les côtes de l'Alaska, après avoir été abandonné par son compagnon de route, un ancien mercenaire recommandé par ses parents ! Un an plus tard, il rallie le Grand Nord, qu'il ne quittera plus. Après avoir frôlé la mort à de nombreuses reprises, il connaît tout du monde des glaces. Ses risques (un ours mal luné, une banquise fragile, des conditions extrêmes...), mais surtout ses bonheurs (la découverte de terres jamais explorées, la vie aux côtés des peuples du Grand Nord, la chasse au narval, mythique animal à corne...).

 

On a roulé sur la terre
d'Alexandre POUSSIN et Sylvain TESSON

Le point de départ ? Un beau pari : faire le tour du monde à bicyclette, en un an jour pour jour, avec pour tout budget moins de 1 000 euros chacun !
365 jours après, Alexandre et Sylvain sont revenus avec 31 pays et 25 000 kilomètres dans les mollets. Ils ont traversé l'Afrique, le continent américain, l'Asie, les pays de l'Est et enfin l'Europe de l'Ouest, vivant chez l'habitant, au gré de leurs rencontres. Improvisation et débrouillardise, anecdotes burlesques, petites et grosses contrariétés, mais aussi splendeur et poésie émaillent le récit de leur voyage.
Au-delà de l'exploit sportif, les aventures surprenantes de deux jeunes Français qui racontent, avec toute la fraîcheur de leurs vingt ans, cette année à la découverte du monde. Ils ont suscité, depuis, beaucoup de vocations...

 

Marcher. Eloge des chemins et de la lenteur
de David Le Breton

Revisitant une réflexion menée il y a dix ans, l’auteur constate que le statut de la marche a énormément changé en une trentaine d’années. Aller à pied, livré à son seul corps et à sa volonté, est un anachronisme en un temps de vitesse, de fulgurance, d’efficacité, de rendement, d’utilitarisme. Marcher ainsi de nos jours – et surtout de nos jours, disait J. Lacarrière, "ce n’est pas revenir aux temps néolithiques, mais bien plutôt être prophète". Il est l’un des premiers à en retrouver le goût. Les chemins de Compostelle sont devenus en quelques années des lieux très fréquentés et dotés d’une organisation méticuleuse.

Nous sommes bien loin des anciens chemins, mal aménagés, mal balisés, avec une population méfiante envers ces gens de passage portant leur sac à dos qui étaient les pionniers de leur renaissance dans les années 70. Ceux qu’essaient alors de reconstituer P. Barret et J.-N. Gurgand ont disparu sous les "coquelicots (...) les chemins sont goudronnés ou ne sont plus". Les années 80 voient leur réorganisation méthodique, en 1983 est créée la première association jacquaire, qui sera suivie de bien d’autres. Dans les années 90 les chemins de Compostelle prennent leur essor.

Aujourd’hui la marche s’impose comme une activité essentielle de retrouvailles avec le corps, avec les autres. Là où ils existent, même dans les villages, rares sont les syndicats d’initiative qui ne proposent pas un répertoire de chemins bien balisés pour la découverte de la cité ou de ses environs. Les imaginaires contemporains de la marche sont heureux, ils réfèrent plutôt au loisir, à la disponibilité. Marcher est un long voyage à ciel ouvert et dans le plein vent du monde dans la disponibilité à ce qui vient. Tout chemin est d’abord enfoui en soi avant de se décliner sous les pas, il mène à soi avant de mener à une destination particulière. Et parfois il ouvre enfin la porte étroite qui aboutit à la transformation heureuse de soi.

 

En descendant les fleuves
d'Eric FAYE et Christian GARCIN

« Le voyage que nous avons effectué pendant l’été 2010 vers l’Extrême-Orient de la Russie répondait à un vieux désir que nous avions l’un et l’autre. Hormis l’attrait que nous éprouvions depuis longtemps pour cette région du monde, à chacun de nous avaient été vantées la sauvagerie et la beauté des paysages autour de l’immense fleuve Lena, qu’il était possible de descendre depuis la ville de Iakoutsk jusqu’à son embouchure dans l’océan Glacial Arctique, bien au nord du cercle polaire. Ce livre est la relation de ce périple. 
Il débute par l’arrivée à Iakoutsk, la plus grande ville au monde bâtie sur permafrost, et dont les immeubles reposent sur pilotis. Puis la descente du fleuve Lena, qu’aucun pont ne traverse, et dont le lit s’étend parfois sur des dizaines de kilomètres. Les haltes dans des villages abandonnés du monde. Les lectures sur le pont au soleil de minuit. Le débarquement dans l’incroyable ville de Tiksi, sépulcrale, sinistrée, post-soviétique, sur les bords de l’océan Glacial Arctique – Tiksi, interdite aux étrangers jusqu’à la fin de l’URSS. Nos premiers pas dans la toundra. Le retour sur Iakoutsk dans un coucou bringuebalant. Le départ vers Khabarovsk, bien plus au sud, sur le fleuve Amour, juste en face de la Chine. Une journée à Birobidjan, première république juive créée par Staline en 1929, où le yiddish est une des deux langues officielles. Et enfin Vladivostok, au bord du Pacifique, à deux pas de la Corée du Nord, de la Chine et du Japon, Vladivostok-la-grise, dont le nom fait rêver, mais dont l’urbanisme chaotique et l’omniprésence des véhicules à moteur masque parfois la beauté. 
Que ce soit par la rudesse de leur approche ou par la réalité brute dont ils témoignaient, ces lieux, tout sauf touristiques, ont été un moteur d’écriture puissant. Très vite il nous est apparu essentiel de ne pas composer un livre à deux voix, mais uniquement à deux mains : les textes ont été composés soit par l’un, soit par l’autre, soit par les deux, avec dans ce cas insertion de passages de l’un au milieu du texte de l’autre. Par ailleurs, la voix narrative est toujours la même : un “je” qui recoupe parfois la réalité d’un de nous, parfois celle des deux – un “je” muni de quatre jambes, quatre yeux et quatre oreilles, une chambre d’écho démultipliée. »

 

La vie en Nord
de Nicolas VANIER

Le Grand Nord : une passion pour Nicolas Vanier qui remonte à l'adolescence. Mais la lecture de Jack London n'a pas suffi à cet amoureux des grands espaces vierges : il lui fallait voir, comprendre, sentir.

Voilà maintenant douze ans que ses rêves de silence et de glace sont devenus réalité. Douze ans d'amitié avec les régions les plus sauvages du globe : le Labrador, les Rocheuses, le Canada, l'Alaska, la Sibérie. À cheval, à bord d'un canot ou d'une barque, traîné par des chiens ou à dos de renne : une véritable épopée solitaire dont ce livre offre le récit captivant.
Des chasses : les traces des loups et des grands mouflons sont autant de pistes qui réveillent l'instinct de la capture ; des rencontres : avec les Evènes, un peuple nomade du nord de la Sibérie qui vit encore en totale harmonie avec la nature ; des lieux : taïga, toundra, montagnes, banquise, ciels arctiques, stupéfiants de beauté quand les aurores boréales déroulent leurs écharpes de lumière. Et des événements : des jours de blizzard par -60 °C, une terrible descente de rapides en canot, des chasses au phoque avec un concurrent redoutable : l'ours polaire…

« Le Grand Nord n'attendait rien de moi, dit Nicolas Vanier. Moi, j'attendais tout de lui. Il m'a beaucoup appris : la patience, l'humilité, le respect. »

 

Le marchand de bonheur à pied d'Auschwitz à Jérusalem
d'Andre WEIL

André Weill. Sa carte d'identité le dit domicilié à Meylan dans l'Isère et né en 1948. Fragile et impatient, le cœur gourmand, les pieds frémissants, il marche. Les livres le disent pèlerin au long cours (Compostelle, Rome, Auschwitz, Jérusalem). Père de cinq enfants, citoyen du monde, amoureux des grands espaces, de la pluie du soleil et du grand vent... L'air du temps le dit parfois physicien, écrivain ou bien encore professeur de Yoga... il se méfie beaucoup de ceux qui savent, des listes à la Prévert, et des cartes d'identités.

 

Conquérant de l'impossible
de Mike Horn

« J'ai failli mourir dans l'eau glacée, j'ai senti les crocs des ours polaires contre mon visage, j'ai survécu à des températures de - 60°C ; (...) j'ai eu les doigts, la figure et même les poumons gelés (...), l'Arctique est sans pitié. Tout ce que j'ai affronté était nouveau pour moi. Je n'ai trouvé le courage de surmonter certaines épreuves que parce que j'ignorais les souffrances qu'elles représenteraient. »
Mike Horn est un aventurier de l'extrême. Il ne vit que pour relever de nouveaux défis, et repousser encore plus loin les limites de sa résistance. Pour obliger son corps à donner le meilleur de lui-même. Pour le contraindre à obéir à son esprit. Son exploit – réaliser le tour du cercle polaire arctique – il l'a vécu comme un véritable voyage vers l'humain. Parce que sur ces terres ou la vie ne tient qu'à un fil, ou la moindre erreur peut être fatale, la solidarité est exemplaire. 

 

Boréal une année en pays esquimau
de Paul-Emile VICTOR

En 1934, embarqué sur le Pourquoi-Pas ? du commandant Charcot, le jeune explorateur Paul-Emile Victor découvre le Groenland et les Esquimaux d'Ammassalik. Quatorze mois durant, il partage leur quotidien. Dans ce carnet de route, il décrit la vie et les coutumes de ce peuple et raconte avec émotion les moments passés avec eux : la rencontre avec l'ours, la chasse au narval, les récits des magiciens, son histoire d'amour avec Doumidia, la belle eskimo, et, tout simplement, la joie de vivre.

 

Carnets d'aventure
de Sylvain TESSON

Sylvain Tesson ouvre ces carnets par une réflexion sur l’aventure à la lumière de ses propres expériences.
– Dans le cadre de la 47e Année Polaire Internationale, Michaël Pitiot et l’expédition « Tara » se laissent dériver à bord d’une goélette sur la banquise arctique pour étudier le réchauffement climatique.
Éprise de désert, Blanche de Richemont nous mène à la rencontre des Touaregs et des dernières caravanes de sel de l’Azalaï. L’Anglais Oliver Hicks est le plus jeune à avoir traversé, dans un bateau à rames en bois (7,20 mètres), l’Atlantique Nord, en 126 jours, de New York à Falmouth.
Stéphanie Bodet et une équipe internationale sont restées suspendues 15 jours et 15 nuits dans le vide le long d’une façade de grès de 1 150 mètres au Venezuela, arrosée en permanence par les embruns de la plus haute chute d’eau du monde.
Édouard Cortès s’est intéressé au mythique mont Ararat dont il a tenté d’élucider le mystère.
Stéphane Dugast a mis ses pas dans ceux de Paul-Émile Victor au Groenland oriental pour y constater les profondes mutations de la société inuit.
Grâce à un esprit d’équipe et de recherche de la perfection qui ne laisse aucune place à l’erreur, la patrouille Breitling Jet Team, fondée par Jacques Bothelin, est aussi célèbre par ses spectacles aériens que la Patrouille de France. Elle est par ailleurs la seule professionnelle et privée au monde volant sur jet.
Fondateur de « Raid nature handicap », Laurent Marzec, lourdement handicapé à la suite d’un accident, a traversé d’est en ouest les Pyrénées à la force des bras sur un « handbike », un vélo à traction manuelle. Évangéline Masson est partie pendant 10 mois dans les 15 pays nés de l’implosion de l’URSS, à la rencontre des jeunes de 20 à 35 ans dont elle a partagé le quotidien. Dans l’Azawak, région la plus pauvre du Niger, Guy Duhard partage depuis 12 ans le quotidien des Touaregs auxquels il vient en aide. Il y a 100 ans s’est déroulée la première course automobile Pékin-Paris. Elle verra la victoire du prince Scipion Borghèse sur une Itala de 40 CV, dans d’inimaginables conditions. Chantal Edel retrace cette aventure.

 

Latitude zéro. 40 000 kms pour partir à la rencontre du monde
de Mike HORN

Lorsqu'il décide de parcourir en solitaire les 40 000 kilomètres de l'équateur, Mike Horn se lance un défi inouï. Des côtes d'Afrique aux portes de l'Asie, en passant par l'immensité du continent américain, il devra traverser trois océans ; autant de jungles impénétrables ; deux sommets de 6 000 mètres ; des pays en guerre, rongés par la maladie, envahis d'une faune hostile et d'une flore vénéneuse. Son exigence est stricte : jamais il ne quittera la " latitude zéro ", jamais il ne s'éloignera de cette ligne imaginaire...Avec cette aventure où le destin du voyageur bascule au gré des tempêtes et des rencontres, Mike Horn se lance dans un violent face-à-face avec le monde : envoûtante de beauté, sa route croisera l'errance des damnés de la terre, des chercheurs d'or de l'Amazonie aux peuples d'Afrique en guerre.

 

Marche avant
d'Alexandre Poussin

Après l'Afrique et avant son prochain voyage, Alexandre Poussin nous livre ses secrets d'aventurier.
Qu'est-ce qui fait courir Alexandre Poussin ? Qu'est-ce qui le fait chaque fois partir et repousser les limites de son monde ? Dans ce récit, à la fois pratique et philosophique, personnel et universel, Alexandre Poussin évoque sa vie d'aventurier, de père de famille et sa curiosité insatiable pour notre planète.
C'est au Canada, ou il a passé son enfance, qu'Alexandre Poussin a attrapé le virus des grands espaces. Encore enfant, à la suite d'un grave accident, il a passé une année à Garches, immobile : le voyage intérieur a précédé l'aventure physique. La famille, le sport, le scoutisme, l'ont préparé à ses premières aventures. Aujourd'hui, père de famille, il ne conçoit pas de partir sans ses enfants, et c'est aussi avec eux que se fera le prochain grand voyage. En marchant. Alexandre Poussin est un passionné de la marche, car elle possède à ses yeux des pouvoirs insoupçonnés. La marche permet de partir à la découverte du globe, bien sûr, mais aussi et surtout à la découverte de l'autre et de soi-même. Elle change le rapport que l'on a à ce qui nous entoure, à une époque ou la lenteur est devenue un luxe. Elle change le monde car elle permet de consommer moins, mieux, de voyager utile et de préserver la planète.

 

Africa trek I :16 000 kms du Cap à Jérusalem
de Sonia et Alexandre POUSSIN

Sonia et Alexandre Poussin ont entrepris de remonter l'Afrique à pied, du cap de Bonne-Espérance au lac de Tibériade. Trois ans de marche le long de la vallée du Rift en Afrique de l'Est, pour refaire symboliquement le premier voyage du premier homme, de l'australopithèque à l'homme moderne. Dans ce volume qui retrace les sept mille premiers kilomètres de leur périple, du Cap au Kilimandjaro, ils nous font partager une Afrique intime. Ces aventuriers ont affronté le soleil implacable de la brousse, les attaques d'animaux sauvages, les déserts et les jungles. Seuls, à l'aventure, sans sponsors ni logistique, partageant le dénuement de leurs hôtes, ils nous parlent à chaque page de la générosité et de l'enthousiasme de ces hommes et ces femmes qui peuplent la terre d'Afrique. Jour après jour, Sonia et Alexandre sont devenus un peu plus africains.

 

Chemin de promesses
d'Edouard et Mathilde CORTES

En marchant et demandant le gîte et le couvert, Mathilde et Édouard Cortès se sont donné la main pendant 6 000 km. Jeunes mariés, ils ont fait le pari que l’amour et la confiance leur feraient vaincre tous les obstacles.

Paris, 17 juin 2007, Mathilde et Édouard partent en voyage de noces… à pied. Ils ont en tête le rêve fou de rallier Jérusalem, sans un sou en poche, dans une volonté de dépouillement, à la manière des pèlerins du Moyen Âge. Leurs besaces sont légères pour permettre à leurs pensées de s’envoler.

Des Alpes aux forêts des Balkans, des steppes d’Asie Mineure aux eaux du Jourdain, Édouard et Mathilde cheminent à travers quatorze pays, gravissant des montagnes, traversant des régions en guerre, franchissant des zones désertiques, dormant à la belle étoile… Dans ce grand trek, des étapes aux noms mythiques : Vézelay, Vérone, Mostar, Istanbul, Alep, Damas.

Découvrir les autres, ils y sont forcés pour survivre, puisqu’il faut, chaque jour, trouver celui qui leur offrira de quoi se nourrir. Du forestier jurassien au berger croate, de la fillette serbe du Kosovo au diamantaire turc, du derviche de Cappadoce à l’espion syrien, les rencontres sont belles, enrichissantes, souvent étonnantes… même si certaines leur réservent de bien mauvaises surprises. Dans l’adversité, Mathilde et Édouard apprennent à mieux se connaître et à s’aimer malgré leurs faiblesses.

Les deux jeunes gens forcent leurs limites pour atteindre leur but. Le récit de leurs huit mois de rencontres, de solitude, de faim souvent, de peur parfois, constitue une extraordinaire et authentique aventure humaine et intérieure.

 

Marion et Julien en route vers Auckland ...

Le site de Julien
https://goodaventure.com/

 

Tour d'Europe vélo moto : 5 433 km pour le don du sang.
de Julien LEBLAY

Le Tour des Alpes s'étant merveilleusement bien passé, Fabien et moi décidons de faire plus fort. Après dix mois de préparation, nous partons le 19 juin 2004 de Clermont-Ferrand pour un Tour d'Europe inédit : un vélo et une moto, ensemble, vont effectuer plus de 5 400 kilomètres pour sensibiliser les personnes au don du sang et à la place des deux roues sur la route. Le don du sang parce que j'ai été transfusé à l'âge de 16 ans ; les deux roues pour montrer aux automobilistes que l'on peut se partager le bitume, que l'on roule vite ou moins vite (à vélo ou en moto). 31 étapes ont suffit à effectuer ce tour d'Europe, soit une moyenne de plus de 175 km par jour. Les jours de repos étaient consacrées à la collecte de sang, en lien avec les centres de don de sang locaux. Un voyage inédit, reconnu par le livre des records...

Il était possible de suivre l'ensemble de ce périple, au jour le jour, sur le site internet des Voyageurs au Grand Coeur. Visite obligatoire !! Vous pourrez également y trouver plus de 550 photos. Ceci n'est qu'un petit résumé de ce voyage avec les plus belles photos, sélectionnées spécialement pour vous ! De ce Tour sont nés un livre et un DVD, que vous pouvez découvrir sur ce site puis commander sur le site des Voyageurs au grand Coeur.

Offrez-vous un petit voyage en Europe pour choisir votre prochaine destination de vacances ou, pourquoi pas, préparer l'itinéraire de votre prochain tour à vélo...!

L'Europe est belle et grande ; elle mérite d'être visitée dans ses moindres recoins. Le don du sang est le geste civique par excellence, qui sauve chaque année de nombreuses vies... L'un dans l'autre, nous voilà au départ d'un magnifique périple

 

Tour de la Nouvelle Zélande à vélo ; 2 750 km pour le don du sang
de Julien LEBLAY

Après le Tour des Alpes (vélo moto) et le - Tour d'Europe (vélo moto aussi), me voilà au bout du monde, en Nouvelle Zélande. J'étais seul à vélo cette fois-ci pour faire ce nouveau tour. La Nouvelle Zélande, pays le plus éloigné de la France. La Nouvelle Zélande, pays grandiose, aux paysages magnifique. La Nouvelle Zélande, peuplée par des gens magnifiques, qui m'ont formidablement bien accueillis. Mais aussi la Nouvelle Zélande, ou un pays qu'il est difficile de découvrir à vélo. La pluie printanière m'a largement arrosé et le vent m'aura fait chuter de vélo...

Même à 20 000 kilomètres de la France, j'ai quand même pu porter ce message du don du sang, qui me tient à coeur, en faisant ce tour à vélo pour l'association Les Voyageurs au grand Coeur. Un nouveau tour qui a été très bien accueilli par le service du sang de la Nouvelle Zélande. Ce tour aura alors incité très fortement les néo zélandais à aller donner leur sang. Et il y a même une belle surprise pour la fin de ce tour...

Découvrez ici les plus belles photos de ce tour de la Nouvelle-Zélande à vélo. Vous pourrez en découvrir plus en visitant le site des Voyageurs au grand Coeur, ou en commandant le carnet de route sur ce tour.

Bonne balade à vélo en Nouvelle Zélande, accompagné par les voyageurs au grand coeur !

 

Tour des Balkans à vélo - 5 300 kilomètres pour le don du sang.
de Julien LEBLAY

Après le Tour d'Europe et celui de Nouvelle-Zélande, effectués pour sensibiliser les personnes au don du sang, j'ai décidé en 2006 de poursuivre l'aventure. Cette fois-ci, je me suis rendu dans les Balkans, pour un périple long de deux mois et demi. Du 19 juin au 30 août 2006, j'ai ainsi parcouru plus de 5300 kilomètres à vélo dans cinq pays des balkans: Slovénie, Croatie, Bosnie, Serbie et Monténégro (Je ferai également 19 kilomètres en Italie et 13 en Autriche...).

Comme les précédents voyages, celui-ci a permis d'apporter une forte communication sur le don du sang. Sur mon passage, plusieurs collectes de sang ont été orgénisées, et fortement médiatisées. Ce voyage m'a également permis de découvrir des pays très intéressants et troublants. Je retiendrai la verdure et la propreté de la Slovénie, le contraste très marqué entre la côte et le reste du pays en Croatie, l'accueil très chaleureux de la Serbie, la nature époustouflante du Monténégro et enfin le désordre et la complexité de la Bosnie.

 

Tour des Balkans et Roumanie à vélo
de Julien LEBLAY

 

Amérique latine à vélo : 11 000 kilomètres pour le don du sang
de Julien LEBLAY

Transfusé à l'âge de seize ans, Julien Leblay arpente le monde à vélo avec dans ses bagages l'important message du don du sang. Depuis quatre ans, l'auteur établit dans les pays qu'il traverse une vaste communication autour de ce geste encore trop peu pratiqué.
Longer la cordillère des Andes est un rêve devenu réalité. Durant six mois, Julien Leblay a côtoyé cette montagne au goût de merveilleux, traversant successivement le Pérou, la Bolivie, le Chili et l'Argentine. Des cités perdues incas aux glaciers de Patagonie, en passant par le désert d'Atacama et la route australe du Chili, laissez-vous porter par ce récit plein de vitalité, d'humour et de passion !
Ce voyage est le cinquième de son tour du monde débuté en 2004. Il porte à 28 800 le nombre de kilo-mètres parcourus en vingt-cinq pays. Arrivé au bout du monde, à Ushuaia, Julien continue pourtant l'aventure avec les Voyageurs au grand Cœur. Ce sera en 2010, sur les routes d'Asie...

 

Entre la France et la nouvelle Zelande
de Julien LEBLAY

Que vous soyez cyclotouriste, voyageur ou sédentaire ouvert sur le monde, il y a mille et une raisons de vous réjouir de la lecture de ces Nouvelles Vagabondes.Après plusieurs voyages en solitaire, Julien Leblay nous livre cette fois-ci le récit de son périple avec sa compagne Marion. Ne voulant se contenter de décrire le quotidien de leur voyage, il s’engage et se place résolument loin des clichés pour nous livrer avec sincérité ses impressions, que ce soit sur la vie du couple en voyage, ses préoccupations écologiques ou sur les traits culturels ou sociologiques des pays traversés. Ce livre ne laisse pas indifférent et bouscule nos représentations exotiques du monde ; à sa lecture on découvre, on s’indigne et on s’émerveille tour à tour. Dans un style à la fois personnel et documenté, il nous offre une immersion complète, sans langue de bois, dans son voyage à vélo en couple. Il réussit finalement le pari de dresser un tableau contrasté et nuancé de cette longue aventure cyclotouriste qui ne sera probablement pas la dernière ! Cécile R.

 

Le TAO du vélo
de Julien LEBLAY

Le cyclovoyageur est un être étrange. Chacun d’entre nous en a vu un lui demander de l’eau, passer devant sa porte ou s’arrêter sur la place de son village. Dans les traits marqués de son visage, on lit une profonde sérénité, un bonheur immense. Sa mansuétude est telle qu’on voudrait l’inviter à franchir le pas de la porte. Après avoir rempli sa gourde ou l’avoir renseigné, on l’observe jalousement repartir avec insouciance et légèreté. Mais qui est-il ? Quel est cet homme solitaire qui paraît si heureux alors qu’il semble sans famille, ni amis, ni maison ? Serein, généreux et à mille lieues de notre société boulimique, le cyclovoyageur musarde des montagnes jusqu’aux plaines, des forêts jusqu’aux déserts, sans se soucier ni des intempéries, ni des terribles ascensions de cols, ni des pistes boueuses ou ensablées. Il brave les dangers de la route, reçoit la bénédiction de ses amphitryons et se laisse séduire par l’élan de sa bicyclette qui le porte de nouveaux départs en nouvelles arrivées.

 

Le tour du monde à vélo
de Françoise et Claude HERVE

Le 1er avril 1980, Françoise et Claude Hervé prenaient le départ d'un tour du monde à vélo qui, croyaient-ils, durerait environ trois ans. L'aventure, en fait, se prolongea quatorze années au prix de 503 crevaisons, 35.000 photos, plus de 150.000 kilomètres parcourus et ...un enfant !Françoise et Claude Hervé s'inscrivent désormais dans la grande lignée des écrivains-voyageurs. Ils ont l'art et la manière de nous faire vagabonder avec eux, mettant en lumière la dimension humaine d'un exceptionnel périple qui les a conduits à découvrir, à côté des paysages, des hommes et leurs cultures.Un hymne à la vie et à la fraternité entre les peuples.

 

Pensées en chemin
de Axel Kahn

Axel Kahn marcheur ? On le savait généticien, médecin, humaniste. On le découvre ici en randonneur de haut niveau, capable d’avaler deux mille kilomètres en parcourant « sa » France de la frontière belge dans les Ardennes à la frontière espagnole sur la côte atlantique, au Pays basque. Itinéraire buissonnier qui le conduit de la vallée de la Meuse à Saint-Jean-de-Luz, en passant par Vézelay, le Morvan, la Haute-Loire, les Causses et le chemin de Saint-Jacques-de-Compostelle pendant sept cents kilomètres.
Le livre qu’il a tiré de ce périple est plusieurs choses à la fois : un carnet de voyage curieux, drôle, rêveur, où nous sont contées les anecdotes d’une traversée haute en couleurs ; une sorte de manuel d’histoire, où remontent à notre mémoire quelques-uns des lieux célèbres du passé de la France. Mais aussi une réflexion sur l’état de notre pays, la désertification de beaucoup de régions, la pauvreté de certaines, les effets ravageurs de la mondialisation. « Sécession », énonce-t-il : « J’appelle ainsi la rupture d’une partie de la population avec la vie politique ordinaire, l’apparente rationalité de son discours et ceux qui le tiennent. » Comme on voit, l’humaniste engagé n’a pas disparu derrière le marcheur.
Et puis ce livre est aussi l’occasion de rencontrer à chaque étape des hommes et des femmes qui racontent chacun un bout de la vraie France d’aujourd’hui, celle dont on n’entend jamais parler.

 

L'homme qui marche
de Jean BELIVEAU

Le site de Jean
https://wwwalk.org/fr/

L'homme qui marche « J'avais arrêté la date : le 18 août 2000, jour anniversaire de ma naissance, allait être celui de ma métamorphose. Jean le marcheur laisserait derrière lui Béliveaule poseur d'enseignes pour avaler le monde ou s'offrir à lui, l'avenir le dirait. »C'est sur un coup de tête, le jour de son anniversaire que Jean Béliveau décide de quitter son Québec natal pour une marche autour du monde. Lorsqu'il se sépare de sa famille, il n'a que quelques dollars en poche et l'envie folle de se « frotter » au monde. Onze années plus tard, il aura réalisé la plus longue marche ininterrompue autour de la planète : plus de 75 000 kilomètres parcourus à travers 64 pays. Il tombe amoureux au Mexique - pour neuf jours. Porte turban et grande barbe au Soudan, mange des insectes en Afrique, du chien en Corée et du serpent en Chine, est escorté - lui, marcheur pour la paix - par des soldats aux Philippines. Il ne tombe sérieusement malade qu'une fois et se fait soigner avec succès en Algérie, n'est attaqué que par deux jeunes voleurs ivres en Afrique du Sud, et arrêté à Addis-Abeba sans savoir pourquoi. Il a certes dormi sous les ponts, dans des foyers pour sans-abri, voire dans des prisons, mais a souvent été invité à dormir chez des gens séduits par son aventure. Il témoigne aujourd'hui de cette fabuleuse odyssée terrestre et de ses plus belles rencontres aux quatre coins du monde.